LE BUDGET PRIMITIF 2024

LE BUDGET PRIMITIF 2024

Le quatrième budget du mandat traduit le choix responsable et volontaire de la Ville, avec la mobilisation de moyens financiers à hauteur de 29 millions d'euros permettant de préparer l’avenir et construire la Ville de demain.

 

Le budget 2024 en chiffres : 29 millions d'euros au services des Chapelains.

 

23 millions d'euros pour le fonctionnement des services de la Ville, afin de répondre aux besoins des habitants, dans les domaines de l’éducation, la solidarité et la citoyenneté, la vie sportive et culturelle, l’aménagement du territoire, la transition écologique et les mobilités.

 

 

 

 

Plus de 5 millions d'euros pour l’investissement, afin de porter les projets de développement de la ville, dont :

  • la création d’un nouveau groupe scolaire aux Perrières,
  • la construction d'une cuisine centrale mutualisée avec les villes de Saint-Herblain et Orvault,
  • l’installation de la vidéosurveillance sur la voie publique,
  • les réaménagements d’équipements sportifs et culturels.

 

 

 

Ce budget continue de porter les engagements de l’équipe municipale autour de la justice sociale, la transition écologique, la démocratie locale et la qualité des services publics. Pour cela, il s’appuie sur les points forts d’un territoire dynamique, riche de son tissu associatif et économique et des services publics, garants de la proximité et de la cohésion sociale.

 

 

Le budget 2024 s’inscrit dans une trajectoire financière permettant de :

  • stabiliser l’épargne disponible pour investir ;
  • par la maîtrise de l’évolution des dépenses de fonctionnement et l’adaptation des recettes de fonctionnement pour parvenir à cet objectif ;

En sachant que les services publics municipaux ont un financement de plus en plus assuré localement.

  • planifier les projets d'investissements structurants, d'ici la fin du mandat.

 

    Ce budget est encore impacté par un environnement économique tendu, avec une chute du marché immobilier et une inflation soutenue, en particulier les risques assurantiels et le choc énergétique. Des économies ont été faites pour absorber une partie de cette hausse. Néanmoins, le recours à l’impôt s’est avéré être une nécessité, avec une augmentation des taux de 5 %, permettant une consolidation des recettes de la ville et la constitution d’une épargne pour investir dans l’avenir.